Après le gros succès les 3 premiers épisodes: Le retour.
70.Ashanti : Ashanti.
C’était le premier forfait d’Ashanti. Le temps où elle vendait des disques et interessait un minimum l’amerique profonde, qu’elle a commencé par degouter avec cet opus qui s’inscrit parmi les plus niais jamais commis. Entierement produit par Irv Gotti et sa clique, Ashanti est long,répétitif,pavés de mélodies pavillonés indigestes et vocalment risibles. Leaving Tonight, Foolish et quelques autres sortent du lot mais le poids des 22 roses fanées que cosntituent cet album restent trop lourd pour l’emepecher de paraitre dans ce classement.
69. Ne-yo : The Year Of The Getlemen.
Tout se passait bien pour Neyo entre 2004 et 2006. 2 bons albums, une superbe reputation et bam, il ya eu closer puis the Year Of the Getlemen qui n’est rien d’autre qu’un ramassis de démos moisis des deux anciens opus. J’avoue avoir tellement baillé pendant mes 2 écoutes de cet opus que je ne me rapelle plus si je l’ai vraiment fini. Anyway,apart Mad et Single, c’est un opus veritablement oubliable et à oublier ( si on aime Ne-yo).
68. Ray j : All I Feel.
Après avoir fait illusion le temps d’un opus ( Radiation). Ray J se libere de sa soeur et nous donne cet opus qu’il compose avec Rodney Jerkins. A l’ecoute, on ne peut qu’etre triste pour le jeune homme qui a savemment du etre toisé par la fée du talent le soir où elle est venue vider l’effet de sa baguette sur sa soeur tandis que lui tétait maladroitement une tétine que le son de sa voix actuelle garde encore en fond sonore.
67. Lil Jon & Eastide Boyz : Crunk Juice.
C’était en 2004, l’apogée du Crunk . Un crespucule d’attardés à l’hygiene douteuse porté par un mentor au vocabulaire vulgaire et piteusement limité ( Yeeaaah, Fuck Fuck) dominait la planete avec des titres comme » Yeah ou encore » Goodies ». L’album qui a suivi ce mouvement – et qui était censé l’enterriner – l’a cependant tuer. Hormis la reprise du Lovers and Friends effectué avec Usher. Crunk Juice est une abominable cacophonie sonore où les gros mots font légion et les beats donnent l’indigestion. La seule utilité qu’a eu cet album est qu’il a stoppé le mouvement, aprés un tel desastre musical, plus personne n’osait les apeller ou les jouer en radio.
66.Justin Timberlake: Justified.
C’est le premier album de celui qui constitue selon moi l’une des plus grosses arnaques de cette recente decennie. Hormis avoir une voix correcte et nottament en 2003, Justin peine a prendre de l’emprise sur ses sons. Justified en est la preuve, un opus à la hauteur des premiers de sa copine de l’epoque. Tout sur cet album – devenu inécoutable et qui a très mal viellli- repose sur les productions des Neptunes. Ces derniers ne faisant generalement q’une bonne production sur 4 et surtout le plagiat vocal de Justin sur Mj étant loin d’etre agréable. On se retrouve avec une panoplie de fourre tour mal fagotés, ridiculement langoureusement et profondement chiantes. Cry Me a river aurait du etre le titre de cet album car c’est le ressenti principal que l’écoute impose.
65. Sean Paul : Dutty Rock.
Le succès de cet album de Sean Paul – le premier pour lui à succès international- demeure un réel mystere. Dans cette tentative de joindre Shaggy et Beanie Man. Sean Paul s’avere etre relativement mauvais, les sons sont plats et oubliables au point où l’on prefere d’ailleurs voir d’autres poser à sa place à l’instar du 1er single remixé avec Sean Paul qui reste le meilleur moment de cet opus que de toutes façons plus personne n’écoute sous risque d’urticaires, meme pas lui.
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